Difficultés personnelles
- Épisode ou état dépressif
- Troubles anxieux
- Image ou estime de soi altérée
- Troubles de l’humeur
- Difficulté à gérer ou contrôler ses émotions
- Mal-être latent, crise existentielle
Difficultés relationnelles et affectives
- Isolement social quantitatif ou qualitatif
- Sentiment d’être incompris, différent
- Anxiété, phobie sociale
- Dépendance affective
- Relation d’emprise, manipulation
- Maltraitance, guidance parentale
Episodes de vie douloureux
- Evénements traumatisants
- Deuil, perte, abandon
- Séparation, rupture, divorce
- Violence conjugale
- Maladie chronique, handicap
- Solitude, passage en retraite
Difficultés sociales et professionnelles
- Communication, situations conflictuelles
- Épuisement, stress, burnout
- Baisse de motivation, ennui, bore-out
- Difficulté à donner du sens, brown-out
- Procrastination, conduites d’évitement
- Harcèlement, abus
(1) : Certains outils sont reconnus pour être très efficaces dans le traitement en première intention de troubles spécifiques (p.ex., l’EMDR pour le syndrome de stress post-traumatique). Certaines prises en charge nécessitent conjointement le recours à un traitement médical stabilisateur (p.ex., le trouble de la personnalité borderline). L’encadrement législatif de ma profession me reconnaît de plein droit la faculté à repérer les situations qui dépassent mon champ de compétences. Je suis également assujetti à une une déontologie qui m’enjoint à une stricte observation du principe de précaution. Ce principe consiste notamment à réorienter auprès d’un autre professionnel lorsque cela m’apparaît concourir à l’intérêt premier du patient.